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LES CAFES D'ESTINNES - AU - MONT La Grand' Rue (Rue Grande) |
Rue Grande 2 à Estinnes-au-Mont La Clé de Sol
Local actuel de l’asbl « Jeune Fanfare d’Estinnes »
Ses tenanciers furent : Au nom de la jeune fanfare, on y voit souvent au comptoir Maxime Piraux et son fils Freddy
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Rue Grande 6 à Estinnes-au-Mont Chez François Mabille
On y trouvait un jeu de bouloirs
Ses
tenanciers furent : François Mabille – Angèle « Du Brasseur » - Oscar
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Rue Grande 8 à Estinnes-au-Mont Le Rubis – Le Derby – l’Abreuvoir – La Maison du Peuple
Le
Rubis est l’actuelle « Maison du Peuple ». Il fut le local
de la « Jeune Fanfare Ouvrière » et du « Cercle
Dramatique » (le théâtre de « Mémère Fernande » –
Fernande Sautriaux). On y dansait à l’époque à l’étage. Un certain
président des gilles y trouva l’âme sœur. Il est aujourd’hui le local
de la société de gilles des « Amis Réunis » et de
« Générations Pluralistes ». Les ateliers créatifs
« Retour aux Sources » s’y réunissent. Chut... Quand il
s’appelait « l ’Abreuvoir », il fut un très court
instant connu pour ses « demoiselles ».
Ses
tenanciers furent : Agnes Schollaert et Claude Devriese - Alain
Brozowski et Saida Ouacel (Le nom « Le Rubis » apparait) -
Willy Marlière (on appelait alors le café « Le Derby ») –
Annie Colin (on appelait alors le café « L’Abreuvoir »)
Georges Paradis et son épouse Julia De Boucq (elle fut centenaire - on
appelait alors le café « Le Paradis des Bocus » ) –
Armand et Olga Flamant – Robert Miroir - Louise Daminet (dite
« La Grosse Louise ») – Roseline Laurent (1er café) – Gerald
Moussie – Jean Luc (?)
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Rue Grande 14 à Estinnes-au-Mont Le Balaray
Le nom de ce café est un raccourci du « Bal à Raymond ». Ses concours
Ses
tenanciers furent : Roger Gailliez (un ancien croque-mort), son épouse Anne-Marie et leur fils Arthur – Raymond Spinette
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Rue Grande 18 à Estinnes-au-Mont Chez Maria du Brasseur
C’est ce café qui est à la source de la société des « Gilles du Brasseur », Ses
tenanciers furent : Maria Jeramy Lottiau dite « Maria Du
Brasseur », marraine des « Amis Réunis » –
Emile Lotiau, 1er secrétaire des « Amis Réunis »
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Rue Grande 11 à Estinnes-au-Mont La Maison du Peuple
Ce
café était jusque dans les années septante connu pour être
« la Maison du Peuple ». Un vaste salon se trouvait à
l’arrière et il s’est effondré dans les années septante. Un jeu
de bouloirs s’y trouvait, on y jouait au théâtre et on y profitait d’un
cinéma. Une large terrasse était devant l’entrée. Ses
tenanciers furent : Jean-Pierre Coppée et Roseline Laurent (3ème café)
- Jacqueline Gontier (dite « Jacqueline du Peuple » ou
Jacqueline « Milot ») et son mari Robert Deghilage
(dit « Le Doré » car il était roux) – Robert Ouacel - Roger
« Milot » - Emile Bertin – Robert Denison – Gilbert Delvaux
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Rue Grande 34 à Estinnes-au-Mont Chez Gillis
On y trouvait une grande viole sur le mur et un jeu de bouloirs à 9 quilles. Ses
tenanciers furent : Parents de Simon Lagneau
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Rue Grande 72 à Estinnes-au-Mont L'Ecurie
L’Ecurie
était réputé pour être le plus grand café d’Estinnes. Il a servi
de lieu de rendez-vous officieux au premier collège communal après la
fusion des communes (Marcel Desnos, Etienne Quenon, Albert Pierrart, G.
Molle…). Une tête de cheval de labour empaillée trônait à côté du
comptoir. La plaisanterie dit que l’arrière du cheval était dans le
garage
Les yeux de verre du cheval faisaient aussi assez peu aux enfants.
C’était le local du « Petit Pepet » (Maurice Cheron), un
petit gars qui y
faisait le poirier sur un verre ou sur le billard pour avoir un
verre à boire. Il était l’ami du « Grand Georges » (Georges
Coulou). Dans les années septante, l’ambiance au carnaval y était très
très réputée (on y revenait une fois débourré après le feu) et à la
fermeture de ce café, elle s’est déplacée en face dans la grange Julot. Ses
tenanciers furent : Roger Lahaye et Albertine Buchin Tête de cheval du café l'écurie Roger Lahaye et Albertine Buchin (merci à Marie-Ange Bartel pour ces 2 photos)
Maurice Cheron dit Maurice Pepet (merci à Carolle Dubois pour cette belle photo)
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Rue Grande 33 à Estinnes-au-Mont Aux Délices d’Antan – Chez Gourmeur
Les
Délices D’Antan sont non seulement un sympathique café mais aussi un
restaurant très convivial. A l’étage, les passionnés de brocante
peuvent fouiner pour trouver le bel objet qui manque à leur
collection. Les habitués l’appellent « La Cabane Bambous ».
L'ambiance y est chaleureuse et festive. Un bel urinoir en pierre
trônait sur le mur extérieur côté « Grand Rue » lors du café
de Fernand Gourmeur. Ses
tenanciers furent : |
Rue Grande 118 à Estinnes-au-Mont Le train de 7 heures – Chez Dainville ou le jeu de bouloirs
Une
marche était présente au milieu de café … un vrai casse-pipe pour les
jeunes gilles en sabots. On y jouait au jeu de « bouloirs »
(selon Andrée Dainville, le café a porté le nom "le jeu de bouloirs" de
1946 à 1950 quand ses parents le tenaient).
La façade porte encore l’inscription « Café Bouloir » à
l’heure d’aujourd’hui. Au carnaval, des garnements ont déboité le poêle
bouché par un brulage de poireaux liés à un déguisement … l’ensemble du
café devint vite invivable. La casquette du « P’tit Millot »
termina dans le feu. A la viole, les poules du poulailler furent
lâchées dans le café… Quelle bande ! On y buvait déjà la bière à
la bouteille … cela évitait de laver les verres ? On y dansait lors des
kermesses locales et Marius Lepoivre y animait les soirées. Les
galettes de pomme de terre de Micheline Adam étaient fameuses dans le
village et on y jouait "à la flotte" pour se faire un peu d'argent de
poche. Ses
tenanciers furent : Léon Dainville et leur fille Andrée Dainville - Lucien et Florine Hupin - Marius Barbiot et Alberte - Roseline Laurent
(2ème café) – Gaston et Marie Fayt – Marie Lepoivre – Jean-Paul Potier et Micheline Adam
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Rue Grande 128 à Estinnes-au-Mont Chez Biroute
La
qualité des frites du « P’tit Biroute » ou du « petit biroutia» (Maurice
Lebacq avait reçu ce surnom de Raymond Saintenoix) était très
connue. Maurice et ses filles vendaient aussi des frites sur les
kermesses les week-ends et en semaine. Maurice conduisait un camion de
charbon.
Sa femme, Marie-Louise Lheureux, était appelée Madame « Comint
»
car à beaucoup de questions qui lui étaient adressées , elle répondait
« Comint ? » Ils avaient 2 filles : Monique et Mauricette. Ses
tenanciers furent : Maurice Lebacq (dit Biroute) - Raphael Lambot – Jean-Pierre Coppée
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Rue Grande 103 à Estinnes-au-Mont Au Froissart
Ouvert
vers 1989, c'est un petit café à l'ambiance sympathique qui est situé à
côté de ce que fut la superette des frères Etuin (Jacques et René) "Les
Jardins Gourmands", un commerce qui a aujourd'hui disparu. Il a de
même été le local de la société « Les Amis D’Antan » qui a
cessé d'exister. Il fut de même le local des "Joyeux Drilles", société
qui est devenue celle des "Paysans d'Estinnes" dont le local est sur la
place d'Estinnes. Ses
tenanciers furent : Michaël Bouchez (dit "El Boutch"), Laura Fiorido et
Maxime son compagnon, Christian Glotz - Jean Philippe (« Jean
Phi ») Liem - Fred Willocx - Vincent Bridoux et sa femme Véronique Hirsoux et François Godart
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Rue Grande 105 à Estinnes-au-Mont Au Café Cylva - Chez Man Iane
Ce café portait le surnom de « Relais des Képis » car garde-champêtres Ses
tenanciers furent : Mariane (Floriandre ?) Devillez ( « Man
Ian » càd Maman (mar)Iane) – Cylva était le nom du mari de
Floriandre – Leona et Yvette Etuin
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Rue Grande 136 à Estinnes-au-Mont Bar du manège « Le Fayt »
Le
bar du manège était le café des habitués du quartier. On y entrait par
un petit escalier dans la grange. Il disparut dans les flammes de la
grange du manège. Le debriefing officieux du conseil communal s’y
faisait souvent. Ses
tenanciers furent : Albert Creyeulman et sa femme Yvette – Leur fils, Thierry, tenait le manège
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